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médicament Meclizine a le potentiel pour traiter certaines maladies infectieuses et le cancer Publié le 31 Octobre 2013 à 00h35 Meclizine, un médicament en vente libre utilisé pendant des décennies pour traiter les nausées et le mal, a le potentiel pour de nouvelles utilisations pour traiter certaines maladies infectieuses et certaines formes de cancer, selon le Dr Vishal M. Gohil, biochimiste Texas AM AgriLife Research. La recherche sur méclizine apparaît dans la version actuelle en ligne du Journal of Biological Chemistry. Gohil dit sa recherche, qui comprenait la collaboration avec des chercheurs de la Harvard Medical School et Massachusetts General Hospital, l'Université de Rochester et de l'Université de Guelph, avait déjà montré que le médicament fonctionne également dans le traitement de la crise cardiaque et d'AVC. Meclizine est un antihistaminique, synthétisé dans les années 1950 et plus tard être utile pour le traitement des nausées, des nausées et des vertiges. Gohil, qui est également professeur adjoint de biochimie et de biophysique à l'Université du Texas AM, a dit qu'il a commencé à travailler sur le composé quand il l'a identifié dans une expérience de dépistage des drogues visant à découvrir des composés ou des médicaments qui inhibent la respiration mitochondriale, un processus qui fournit de l'énergie aux cellules. Les mitochondries sont des structures trouvées dans les cellules de tous les eucaryotes, des organismes avec une ou plusieurs cellules contenant un noyau et des organites qui exécutent des tâches particulières. Enfermé dans la membrane, les mitochondries sont responsables de la fourniture de la cellule d'énergie et sont reliées à une durée de vie des cellules et la mort. Mais contrairement à d'autres classes d'antihistaminique, il a noté, méclizine possède une propriété unique qui lui permet d'être utilisé pour le traitement des nausées et le mal, alors que la plupart des autres antihistaminiques ne peut pas. Gohil dit pour certaines maladies comme accident vasculaire cérébral, de crise cardiaque et certaines maladies neurologiques, la recherche médicale précédente a montré que si la respiration mitochondriale peut être tourné vers le bas, il pourrait être bénéfique pour le traitement. Il a dit quand lui et ses collègues a commencé à étudier le mécanisme de ce médicament en termes de la façon dont il est l'inhibition de la respiration mitochondriale, ils ont fait quelques observations fondamentales. il a dit. Les chercheurs ont ensuite ajouté le médicament aux mitochondries isolées, qui est le site principal de la respiration dans les cellules. Il a utilisé une approche de profilage métabolique impartiale, une nouvelle technologie qui donne un aperçu des niveaux de métabolites avant et après le traitement d'un médicament afin que les chercheurs peuvent avoir une idée de la façon dont ce médicament est perturbatrice ces métabolites. Il a expliqué que la phosphoéthanolamine est un intermédiaire dans une voie biosynthétique d'un phospholipide commun qui forme la membrane autour des cellules. Elle est présente dans toute matière vivante à partir des organismes inférieurs tels que les bactéries tout le chemin vers les humains. Ainsi, constatant que le métabolite qui a été élevé lorsque les cellules ont été traitées avec méclizine indique un lien entre cette voie, ou d'un métabolite, et la respiration.
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